Akim court
d'après Claude K. Dubois
Cette création qui aura lieu à Vienne en Autriche en Octobre 2021 sera la première création de notre compagnie sous forme de coproduction avec les jeunes artistes Ayse Bostanci et Tanju Kamer.
Soutenu par le Kultursteg Walgau et accueilli par le Dschungel Wien pour ses premiers représentations, nous souhaitons raconter cette histoire du jeune Akim – si bien dessiné par Claude K. Dubois – aux jeunes spectateurs à partir de 6 ans.
Akim court pour sauver sa vie – son village a été attaqué par des soldats. Akim est séparé de sa famille, leur maison est détruite, des soldats arrivent et le font prisonnier. Akim parvient à s’échapper :
il court et court.
Dans les montagnes, il rencontre d’autres réfugiés. Ensemble, ils parviennent à traverser la rivière frontalière et à atteindre un camp de réfugiés de l’autre côté. Et là, un grand miracle se produit : il retrouve sa mère.
Cette histoire montre le sort de tant d’enfants dans ce monde. Claude Dubois dédie le livre à sa mère, qui était également un enfant perdu pendant la Seconde Guerre mondiale.
En ces temps de chaos de l’information numérique le monde des enfants est en feu, nous tenterons de soulever les questions suivantes : Que se passe-t-il lorsque des masses anonymes ont soudain des visages et éveillent l’empathie ?
Qui sont les politiciens qui déterminent la vie des victimes de la guerre, en particulier des enfants qui souffrent le plus ?
Quand suis-je autorisé à quitter mon domicile ? Faut-il qu’une bombe arrache d’abord ma maison pour que je puisse franchir quelques frontières et mener une vie paisible en toute sécurité ?
L’ouvrage est soutenu par Amnesty International, L’association Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT). L’album est également référencé sur le site de l’association InfoMIE (Centre ressources des Mineurs Isolés Étrangers), il est Coup de cœur 2012 du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF), qui indique : « Cet album se présente sous la forme d’un carnet de voyage, choix qui accentue l’impression de lire un témoignage. Les dessins vont à l’essentiel et illustrent avec force et sensibilité ce que représente la violence de la guerre pour un enfant. C’est beau, juste et émouvant. » Le journal Libération, après les attentats du 13 novembre 2015 en France, choisit l’album dans sa liste « Après les attentats, des livres pour parler aux enfants », En 2014, dans sa version allemande Akim rennt, traduite par Tobias Scheffel, l’ouvrage est récompensé en Allemagne par le Jugendliteraturpreis, catégorie album (Momo du meilleur album de l’année, Foire du livre de Francfort), et par le Katholische Kinderbuchpreis.
Conception et production: Ayse Bostanci mis en scène: Andreas Simma Co-mis en scène et chorégraphies: Adriana Salles Jeu: Ayse Bostanci, Tanju Kamer Choix musical et écriture: Tanju Kamer
Soutenu par le Kultursteg Walgau et accueilli par le Dschungel Wien pour ses premiers représentations, nous souhaitons raconter cette histoire du jeune Akim – si bien dessiné par Claude K. Dubois – aux jeunes spectateurs à partir de 6 ans.
Akim court pour sauver sa vie – son village a été attaqué par des soldats. Akim est séparé de sa famille, leur maison est détruite, des soldats arrivent et le font prisonnier. Akim parvient à s’échapper :
il court et court.
Dans les montagnes, il rencontre d’autres réfugiés. Ensemble, ils parviennent à traverser la rivière frontalière et à atteindre un camp de réfugiés de l’autre côté. Et là, un grand miracle se produit : il retrouve sa mère.
Cette histoire montre le sort de tant d’enfants dans ce monde. Claude Dubois dédie le livre à sa mère, qui était également un enfant perdu pendant la Seconde Guerre mondiale.
En ces temps de chaos de l’information numérique le monde des enfants est en feu, nous tenterons de soulever les questions suivantes : Que se passe-t-il lorsque des masses anonymes ont soudain des visages et éveillent l’empathie ?
Qui sont les politiciens qui déterminent la vie des victimes de la guerre, en particulier des enfants qui souffrent le plus ?
Quand suis-je autorisé à quitter mon domicile ? Faut-il qu’une bombe arrache d’abord ma maison pour que je puisse franchir quelques frontières et mener une vie paisible en toute sécurité ?
L’ouvrage est soutenu par Amnesty International, L’association Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT). L’album est également référencé sur le site de l’association InfoMIE (Centre ressources des Mineurs Isolés Étrangers), il est Coup de cœur 2012 du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF), qui indique : « Cet album se présente sous la forme d’un carnet de voyage, choix qui accentue l’impression de lire un témoignage. Les dessins vont à l’essentiel et illustrent avec force et sensibilité ce que représente la violence de la guerre pour un enfant. C’est beau, juste et émouvant. » Le journal Libération, après les attentats du 13 novembre 2015 en France, choisit l’album dans sa liste « Après les attentats, des livres pour parler aux enfants », En 2014, dans sa version allemande Akim rennt, traduite par Tobias Scheffel, l’ouvrage est récompensé en Allemagne par le Jugendliteraturpreis, catégorie album (Momo du meilleur album de l’année, Foire du livre de Francfort), et par le Katholische Kinderbuchpreis.
Conception et production: Ayse Bostanci mis en scène: Andreas Simma Co-mis en scène et chorégraphies: Adriana Salles Jeu: Ayse Bostanci, Tanju Kamer Choix musical et écriture: Tanju Kamer